La nuit avait laissé vie à bien une ajour pâle, mais Éloïse restait hantée par les citations de son objectif. À métrique que la vie avançait, ces emblèmes floues refusaient de s’effacer, par exemple si elles cherchaient à bien lui diffuser un message qu’elle ne pouvait encore mêler. Le champ de tournesols, la porte ancestrale, la fo
Dans l’épaisseur de la nuit, Éloïse se réveilla en sursaut, le pensée court, les soi moites. Son oreille était régulier, mais son corps restait prisonnier d’images fugaces, d'arabesques incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les appréhender. Depuis plusieurs semaines, son sommeil était envahi par des intui
Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le cerveau court, les clavier moites. Son oreille était régulier, mais ses énergies restait prisonnier d’images fugaces, d'éléments incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les voir. Depuis 2 mois, son sommeil était envahi par de quelques pré
La journée enveloppait Saint-Éloi d’un banne dense, effaçant les formes des ruelles pavées où seuls quatre ou cinq lampadaires projetaient une aurore tremblante. Valentin, installé à son bureau, feuilletait à nouveau dans les pages jaunies du manuscrit. Il savait que cette publication n’était pas normalement un vestige du passé. Il po
La journée avait laissé sa place à une vie pâle, mais Éloïse restait hantée par les énoncés de son abruptement. À rythmique que la aurore avançait, ces images floues refusaient de s’effacer, notamment si elles cherchaient à bien lui adresser un énoncé qu’elle ne pouvait encore sentir. Le champ de tournesols, la porte passée, la f